Acte I, scène 1
I. Une scène d'exposition
a) Un éloge paradoxal
- éloge d'un objet qui n'en est pas digne : comique
- Sganarelle se donne un air de savant et érudit, et cela trahit son manque de culture
- sa théorie est complètement ridicule
b) Une scène pour exposer la situation
- informations sur Dom Elvire
- la tirade précise la toalité de la pièce à la fois comique ironique et parodique
c) Le portrait de Dom Juan
- libertin
- sganarelle met en avant son impiété par une enumération "le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un démon..."
- Dom juan est donc dépeint comme un séducteur, un manipulateur volage pour qui toute femme présent un intérêt
II. L'inscription de la pièce dans une idéologie
a) Libertinage et matérialisme
- DJ est un "pourceau d'Epicure"
- "il ne croit qu'en deux et deux sont quatre, et en quatre et quatre son huit"
b) L'imitation inavouée du valet
- SG fasciné par DJ (hyperboles)
- SG cherche à se montrer supérieur à Gusman, avec son éloge paradoxal du tabac
- SG défend son maitre
c) La critique implicite de la religion
- associer le tabac et la religion => se moque
- DJ ne croit "ni ciel ni enfer ni loup-garou" (idées de Molière à travers DJ)
- Le seul personnage à défendre la religion est Sganarelle, ce qui rend la religion ridicule